Place Naghsh-e-Jahan - CIRCUITS EN IRAN

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Place Naghsh-e-Jahan

Iran : les Incontournables de (d') > Ispahan

La place Naghsh-e Jahan
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La place Naghsh-e Jahan (en persan : میدان نقش جهان, Meidān -e Naghsh-e Jahan), aussi connue sous le nom de Meidān-e Emām (place de l'Imam), dans le centre historique de la ville d'Ispahan, en Iran, est une des plus grandes places du monde. Elle constitue un témoignage de la vie sociale et culturelle de la Perse pendant la dynastie des Séfévides et a été inscrite au Patrimoine mondial de l'UNESCO en 1979 comme site historique important.

Construite par le Chah Abbas Ier au début du XVIIe siècle sous le nom de Naghsh-e Jahan (« portrait du monde »), elle est par la suite appelée Meidān-e Shāh (میدان شاه, « place du roi »), puis renommée Meidān-e Emām (میدان امام, « place de l'Imam ») après la révolution islamique en l'honneur de l'Ayatollah Khomeini.

Chah Abbās, administrateur énergique, prend en main le développement de la ville. Il commence par déplacer de force plusieurs milliers d’Arméniens depuis Jolfa au Nord-Ouest de l’Iran où ils étaient harcelés par les Turcs ottomans, et les installe dans un quartier de l’autre côté du Zayandeh Rud, les autorisant à construire leurs églises et comptant se servir de leurs talents de négociants.

C’est le roi lui-même qui planifie l’urbanisme de sa nouvelle capitale, en s’inspirant peut-être de la ville de Herat, alors encore centre culturel de l’Iran (ville se trouvant aujourd’hui en Afghanistan). Chah Abbas veut faire de la capitale un centre culturel qui éblouira les voyageurs occidentaux (c’est en effet à l’époque safavide que se sont développés les liens diplomatiques avec les pays occidentaux).

Chah Abbas, en planifiant la ville, conserve les éléments existants et les intègre à son projet d’ensemble. De la meydān-e kohneh (qui sera appelée meydān-e qadim — « vieille place » par la suite), il reprend les fonctions principales dans la place qu’il crée, meydān-e chah (« place du roi »), à proximité d’un ancien jardin de l’époque seldjoukide qui portait le nom de Naghsh-e Jahān(« carte du monde » ; la place est d’ailleurs appelée indifféremment meydān-e chah ou meydān-e Naghsh-e Jahān).

Elle était destinée au jeu de polo, aux défilés militaires, aux marchéset aux manifestations religieuses, notamment aux ta'ziyehs [Le Ta'zieh (en persan : تعزیه) désigne en Iran un genre théâtral particulier, commémorant le martyre de l'imam Husayn, qui est joué uniquement pendant le mois de mouharram et lors de l'Achoura. Le chant et la musique y prédominent.].

À ses deux extrémités, deux bornes délimitent encore les buts utilisées dans le polo.

Dans l'urbanisme musulman traditionnel, qui ignore les grandes places, elle est d'une nouveauté radicale; elle devance aussi nombre de réalisations de villes européennes.
Selon un agencement typique de l'architecture iranienne (un espace rectangulaire à ciel ouvert bordé de quatre iwans), ses quatre côtés sont bordés par quatre édifices :

  • deux mosquées :
              • Imam
              • Lotfollah
  • un palais (Ali Qâpu)
  • et le portail d'entrée du bazar

Ressemblant à une immense salle couronnée par la coupole du ciel, la place constituait un miroir de l'univers par son ordonnance, ses édifices et sesc activités :

  1. ses marchés exprimaient la vitalié économique du royaume,
  2. ses cortèges militaires extériorisaient la puissance royale,
  3. ses jeux étaient le reflet des affrontements cosmiques et impériaux, alors que les rituels religieux sacralisaient l'espace et le temps de la cité.

Aujourd'hui, les galeries de la place sont occupées par des commerces d'artisanat, où l'on vend à des touristes amadoués par un verre de thé "le dessin d'un oiseau au prix d'un oiseau vivant".

Cette nouvelle place, mesurant 510 mètres de long sur 164 mètres de large, est entourée des bâtiments fonctionnels qui existaient autour de l’ancienne place centrale :

  1. deux mosquées (Masjed-e chah au sud et Masjed-e Sheikh Lotfollah à l’est)
  2. un palais à l’ouest, le Naqsh-e Jahan, ouvert par le pavillon Ali Qapu
  3. une entrée vers le bazar (entrée appelée qeysariyyeh), qui est agrandi pour arriver jusqu’à l’extrémité nord de la place.
  4. Autour de la place sont construits des magasins sur deux étages sur tout l’espace laissé libre entre les bâtiments, entouré d’un passage couvert comme dans les bazars
  5. L’aile occidentale est consacrée aux entrepôts fournissant les magasins royaux (biens de luxe, or et bijoux)
  6. L’aile sud est consacrée aux libraires, relieurs et marchands de cuir.
  7. Les marchands d’artisanat se concentrent dans l’aile est.
  8. L’aile nord accueille les lieux publics (cafés et hôtels).
  9. La zone située à l’ouest du nouveau meydān rassemble les palais royaux.
  10. Une large avenue plantée d’arbres (majoritairement des platanes et des peupliers), le Chāhār Bāgh (« quatre jardins ») est créée à l’ouest des palais, orientée vers le sud-est en direction de la rivière Zayandeh roud. Cette avenue d’apparat, longue d’environ 1 600 mètres, débute à la place nommée Jahān Nāmeh(« Vue sur le monde ») ; elle est bordée de palais et de résidences royales ou appartenant à des membres de la cour, se prolonge jusqu’au pont Allahverdi Khan et au-delà de la rivière jusqu’aux jardins appelés Bāgh Hezār jarib, construits sur un carré de 116 mètres de côté environ. Le boulevard était alors bordé de chaque côté par des jardins clos rectangulaires, appelés « Jardins des Vizirs », de taille équivalente et d’une profondeur par rapport au boulevard d’environ 180 mètres. Ces jardins étaient possédés par des membres éminents de la cour et avaient tous un pavillon en leur centre. Toutes ces créations ont été organisées par Chah Abbas selon un urbanisme considéré comme « rigoureux et autoritaire » par Henri Stierlin.

Dans le quart nord-ouest de la ville nouvellement créée, de nouveaux quartiers voient le jour selon une trame composée de grands ilôts rectangulaires. De l’autre côté de la rivière, dans le quartier appelé la nouvelle Jolfa, les Arméniens établissent leur quartier selon une trame souple qui laisse de l’espace aux jardins, aux vignes et aux champs de blé et de pavot (les Arméniens qui étaient chrétiens ne pouvaient pas habiter la ville et étaient les seuls autorisés à produire de l’alcool). Dans le quart sud de la ville s’établit la minorité zoroastrienne de la ville. Autour de la vieille ville médiévale, les faubourgs s’étendent de manière beaucoup plus informell. Le remodelage complet de la ville permet alors de distinguer le « vieil Ispahan » et ses ruelles tortueuses du « nouvel Ispahan ». Stierlin dit d’ailleurs d’Ispahan que c’est une « création artificielle d’un monarque épris de beauté qui sut manier ses desseins grandioses avec les données préexistantes ».

Ispahan devient, à partir du règne de Chah Abbas Ier, la métropole des arts et des sciences islamiques et le centre de la culture spirituelle en Iran. Tous les penseurs iraniens de la renaissance Safavide qui apparaissent à cette époque sont ainsi regroupés sous l’appellation d’« École d’Ispahan ». Des philosophes comme Mir Dāmād, Molla Sadra Shirazi, Rajab ’Ali Tabrizi, ou encore Qazi Sa’id Qommicomptent parmi les penseurs influents représentant cette « école ».

Au cours du XVIIe siècle, Ispahan, appelée Nesf-e Jahān (« la moitié du Monde ») par les Persans, compte, d’après les voyageurs de l’époque, plus de six cent mille habitants et est sans doute une des plus belles villes du monde.

Les souverains safavides qui succèdent à Chah Abbas continuent d’embellir la ville. Le pavillon Hasht Behesht (« des huit paradis ») est construit par Chah Suleyman en 1670, la Madreseh de Chah Soltan Hossein est construite au début duXVIIe siècle. La ville comptera jusqu’à 162 mosquées, 48 écoles coraniques, 182 caravansérails et 173 bains publics à la fin du XVIIe siècle, à la veille de l’invasion afghane.

Contexte historique

En 1598, le Chah Abbas Ier déplace sa capitale de Qazvin à Ispahan, oasis destinée à devenir son lieu de résidence et un important centre de commerce, culture et de religion. Fertilisée par le Zayandeh rud, au milieu d'un vaste paysage aride, la ville est idéale pour se distancer d'assaults futurs par les Ottomans, ennemis jurés des Séfévides, et des Ouzbeks, et dans le même temps de gagner plus de contrôle sur le Golfe Persique, récemment devenu une importante route commerciale pour les néerlandais et la Compagnie britannique des Indes orientales.

Ce considérable projet d'urbanisme est attribué à Sheikh Bahai, qui se concentre sur deux caractéristiques clés du plan général du Chah : le boulevard Chahar Bagh (quatre jardins), avenue historique d'Ispahan flanquée de part et d'autre d'institutions d'envergure telles que les résidences de dignitaires étrangers, et la place Naghsh-e Jahan.

Avant l'ascension au pouvoir du Chah, la Perse avait une structure de pouvoir décentralisée, dans laquelle différentes institutions se battaient pour le pouvoir, notamment les tribus militaires (Qizilbash) et les gouverneurs des provinces constituant l'Empire. Le Chah Abbas souhaitait affaiblir cette structure politique, et le développement d'Ispahan pour en faire la nouvelle capitale de la Perse était une étape importante pour la centralisation du pouvoir.

L'ingéniosité de la place Naghsh-e Jahan était pour le Chah de réunir les trois composants principaux du pouvoir dans sa cour : le clergé, représenté par la mosquée du Chah, le pouvoir des commerçants par le bazar impérial, et le pouvoir du Chah lui-même, depuis son palais Ali Qapu.



Lieux emblématiques
La place Naqsh-e Jahan (ou place de l'Imam) est l'un des lieux emblématiques d'Ispahan. Cette immense place publique, inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, est l'une des plus grandes places du monde et constitue le cœur historique et culturel de la ville. Bordée de magnifiques édifices et de bazars traditionnels, la place Naqsh-e Jahan offre un aperçu de l'architecture et de l'histoire de la période safavide. Elle est également un lieu de rencontre et de promenade pour les habitants et les visiteurs, où l'on peut admirer l'animation quotidienne de la vie urbaine.

Place Naqsh-e Jahan : créée en 1602, ses dimensions sont de 512 mètres de long sur 163 mètres de large. Construite par Abbas 1er, chah de la dynastie des Séfévides, au début du XVIIe siècle, la place est longée d'arcades à deux étages et encadrée, sur chaque coté, par quatre magnifiques bâtiments : à l'est, la Mosquée du cheikh Lotfallah, à l'ouest, le pavilon d'Ali Qapu, au nord, le portique de Qeyssariyeh, et au sud, ...

Place des vosges : Les plans de la place furent confiés par Henri IV aux architectes Jacques Androuet du Cerceau et Claude Chastillon. Démarrés en 1605, les travaux sont achevés en 1612, deux ans après le décès du roi Henri IV assassiné par François Ravaillac.


Symétrie Architecturale : Place Naqsh-e Jahan et Place des Vosges
La similitude architecturale entre la Place Naqsh-e Jahan en Iran et la Place des Vosges en France réside dans leur conception symétrique et leur rôle central dans l'urbanisme de leur époque respective.

Premièrement, les deux places sont conçues avec une symétrie géométrique remarquable. À Naqsh-e Jahan, la place est entourée de bâtiments monumentaux, tels que la mosquée Shah et le palais Ali Qapu, qui encadrent la place de manière symétrique. De même, la Place des Vosges présente une symétrie remarquable avec des bâtiments résidentiels uniformément répartis sur ses quatre côtés, créant une harmonie visuelle.

Deuxièmement, ces deux places historiques ont joué un rôle central dans la vie sociale et économique de leur ville respective. À Naqsh-e Jahan, la place était un centre d'activités commerciales, culturelles et religieuses pendant l'ère safavide en

Enfin, les deux places sont des exemples remarquables d'urbanisme planifié et de conception architecturale. Leur disposition symétrique et leur cadre esthétique ont été soigneusement planifiés pour refléter la grandeur et la sophistication de leur époque respective.

Ainsi, la symétrie architecturale entre la Place Naqsh-e Jahan et la Place des Vosges témoigne de l'importance de ces espaces urbains dans l'histoire et l'architecture de l'Iran et de la France, respectivement.

La Place Naqsh-e Jahan à Ispahan en Iran et la Place des Vosges à Paris en France sont toutes deux des places historiques renommées dans leur pays respectif. Bien qu'elles aient des origines différentes et des caractéristiques architecturales distinctes, il existe quelques similitudes entre elles :

  1. Symétrie et Architecture : Les deux places sont célèbres pour leur symétrie architecturale. La Place Naqsh-e Jahan, construite au XVIIe siècle sous le règne de Shah Abbas Ier de la dynastie safavide, est bordée de bâtiments historiques et religieux. De même, la Place des Vosges, construite au XVIIe siècle sur ordre d'Henri IV en France, est entourée d'élégants immeubles résidentiels à arcades.
  2. Cadre Urbain : Les deux places sont des espaces urbains ouverts au public, conçus pour servir de lieu de rassemblement et de détente pour les habitants et les visiteurs. Elles offrent toutes deux des espaces pour se promener, se reposer et profiter de l'architecture environnante.
  3. Histoire et Culture : Les deux places sont imprégnées d'histoire et de culture. La Place Naqsh-e Jahan est associée à l'ère glorieuse de l'Empire safavide en Iran, tandis que la Place des Vosges est liée à l'histoire de la monarchie française et a accueilli de nombreux personnages historiques.
  4. Attractions Touristiques : Les deux places sont des attractions touristiques majeures dans leurs villes respectives. Elles attirent des visiteurs du monde entier en raison de leur beauté architecturale, de leur importance historique et de leur ambiance animée.

Bien qu'elles se trouvent dans des contextes culturels différents, la Place Naqsh-e Jahan et la Place des Vosges partagent donc quelques similitudes en tant que sites historiques et culturels emblématiques.

SOUVENIRS D'ISPAHAN

Le Tapis d'Ispahan : On trouve un grand nombre d'ateliers comme :
Seirafian, Davari, Enteshar et Haghighi, ont une réputation mondiale. Les motifs sont souvent inspirés des mosaïques des mosquées ou bien des jardins et des palais de la ville. Les tapis d'Isfahan ont une cote élevée pour ce qui concerne la composition des motifs, les matières et la réalisation. Ispahan se distingue par des tapis fins, à la densité souvent extrême, mais on trouve également des motifs figuratifs...

Calligraphie d'Ispahan
Vous pouvez trouver de nombreuses œuvres de calligraphie des maîtres d'Isfahani dans le bazar de Qaisarieh. De très belles œuvres artistiques créées sur des plaques d'argent et de cuivre. De beaux vases, tasses et plateaux sont de précieux souvenirs d'Ispahan. Le travail au stylo est un type d'impression de motifs traditionnels sur tissu. Dans cet art, des moules aux motifs différents sont trempés dans de la peinture et appliqués sur le tissu. Le matériau du tissu penkary est principalement le lin, le coton et la toile.
Mina kari : L’émaillage ou "Minakari", une technique créative utilisée par la fusion de minéraux pour colorer et décorer des surfaces métalliques (or, argent et cuivre) avec les motifs raffinés traditionnels représentés sur un fond floral en bleu clair, vert, jaune ou rouge. Les émaux font partie des souvenirs et de l'artisanat les plus beaux et les plus attrayants d'Ispahan. Ce qu'on appelle l'émail dans l'émaillage est une combinaison d'oxydes métalliques et de divers sels.

Khatam kari est un travail de marqueterie fine et minutieuse dont les plus anciens exemples remontent à l'époque Safavide : le khatam était alors tellement apprécié de la cour que certains princes en apprenaient la technique au même titre que la musique, la peinture ou la calligraphie.
Dans l'incrustation d'Ispahan, les formes polygonales en bois sont assemblées très délicatement et magnifiquement. La combinaison artistique de ces formes crée des images belles et attrayantes.

Moaragh Kari (travail incrusté de bois) est l'art de remplacer les différentes parties d'un dessin par des pièces de bois colorées et de les intégrer les unes aux autres afin de décorer la surface d'un tableau ou d'autres structures en bois. Dans la marqueterie de bois, selon la délicatesse et la complication du dessin, différentes pièces de bois avec une grande variété de couleurs etaussi de coquille, d'os et de métal sont utilisées afin d'améliorer la qualité de la manifestation de l'œuvre.


Firouzeh Koubi : Les sculptures en turquoise d'Ispahan sont également très pures et belles. Dans cet artisanat fascinant, de petits morceaux de turquoise sont placés sur des surfaces métalliques. Le métal des surfaces est généralement le cuivre, l'argent, le laiton ou le bronze. Une sorte de vernis foncé est coulé entre les turquoises.
Plus les turquoises sont régulières et petites et plus la distance entre elles est petite, plus l'effet est cher et exquis.

Tissus Calicot
Les motifs ornementaux perses sont des éléments de décoration utilisés dans des arts décoratifs typiquement perses (iraniens). On en trouve une très grande variété servant à décorer les tissus de toutes sortes.

Dans la région d'Isfahan, la  fabrication des tissus imprimés au bloc n'a jamais cessée depuis le XVIeme siècle. Manteaux, vestes, nappes,  tapis de selle, couvertures de chevaux,  sacs,  rideaux, dessus de lit.
SPÉCIALITÉS COMESTIBLES D'ISPAHAN

Le Gaz  est une confiserie traditionnelle iranienne, spécialité de la province d'Ispahan et de la province de Tchaharmahal-et-Bakhtiari. Il s'agit d'un nougat blanc mou tirant son nom du gaz angobin, un exsudat sucré produit par des arbustes du genre Astragalus. Le gaz est composé de gaz angobin, de sucre, d'eau, de blancs d'œufs et d'éclats de pistaches ou d'amandes. Il peut être parfumé à l'eau de rose.

Un autre souvenir d'Ispahan est Poolaki. Le Poolaki est un bonbon rond et fin qui se mange principalement avec du thé. La poudre de noix de coco, le citron, le sésame et le safran sont utilisés comme flocons aromatisants.

Si vous êtes un amateur de thé, manger une tarte avec Poolaki est l'un des meilleurs choix.
Vous pourriez penser que Sohan est un souvenir de Qom, mais Sohan d'Ispahan est aussi très savoureux et délicieux. Le Sohan d'Ispahan, connu sous le nom de Sohan Asali, est différent du Sohan de Qom. Le sohan est une confiserie traditionnelle iranienne à base de blé, sucre, safran et cardamome.

Elle est surtout produite dans les villes de Qom et d’Ispahan.

Le Sohan d'Ispahan est plus fin que le Sohan de Qom et regorge d'amandes et de pistaches.

Chirini Korki est l'une des sucreries traditionnelles et délicieuses d'Ispahan, qui est principalement préparée au début du printemps.

La plupart d'entre nous connaissent les biscuits aux pois chiches, au riz et à la noix de coco sous le nom de chirini Nowrouz.

Chirini Korki est principalement fabriqués avec de l'huile animale.

Goucheh File (L'oreille d'éléphant) est l'un des desserts les plus populaires d'Ispahan. L'une des combinaisons délicieuses et célèbres de l'Iran, que la plupart des gens considèrent comme appartenant à la belle ville d'Ispahan, est le DOUGHE (doure : est une boisson à base de lait fermenté à base de yaourt ) et goucheh file. Tout d'abord, il est très surprenant pour les personnes qui n'ont jamais mangé ce bonbon, de voir comment deux saveurs complètement différentes peuvent être combinées.

Vous pouvez également le servir avec du thé, car le thé amer crée une combinaison unique avec ce délicieux bonbon. Le nom de ce bonbon est dérivé de sa ressemblance avec l'oreille d'un éléphant, dans certaines confiseries, il est également appelé bonbon à la feuille de saule.

Khorechteh Maste : Notre recommandation est le ragoût de yaourt. Ce ragoût est composé d'un mélange de viande, de yaourt, de safran et de sucre. Vous ne pourrez peut-être pas apporter de ragoût de yaourt avec vous comme d'autres souvenirs de la ville d'Ispahan, mais vous apprécierez de le manger vous-même.
Historiquement, c'était un plat principal de la cour royale, mais maintenant il est servi comme pré-plat ou comme dessert.
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